Première étape : le sol

Nous devons casser l’épaisse couche de verdure qui forme une croûte avec ce sol sablo-limoneux pris comme du ciment avec les années passées. D’un côté, un sol sablonneux est plus facile à travailler qu’un sol argileux, mais il demande un arrosage plus conséquent et se doit d’être maîtrisé.

Par conséquent, pour décompacter le sol nous avons laissé de côté l’idée d’un couvert végétal de blé. Et abandonné l’idée de travailler avec des outils manuels, nous avons pour le coût (de la tâche) dépoussiéré et réparé le motoculteur.

Il est vrai que ces engins mécaniques ne sont guère appréciés de l’environnement de part leur caractère agressif. Mais là je dois dire que nous lui devons une fière chandelle à ce motoculteur. Sans lui…Impossible. A moins de faire venir un tracteur avec une sousoleuse, un rotovator et tout le tintouin mais on a préféré participer physiquement à cette tâche afin d’être un peu plus proche du sol pour mieux l’appréhender.

P.S: pour le reste du terrain on le fera au tracteur 😉